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Photographie | Contes indiens (de l'Inde) | Dessins et plans | Peinture | Indiens d'Amérique | Lapins | Gravure | Amérindiens | Contes anglais | Musique | Contes indiens | John Dickson Batten (1860-1932) | Joseph Jacobs (1854-1916) | Agriculture | Agriculteurs | Éléphants | Cerfs | Instruments de musique | George Sand (1804-1876) | Art indien d'Amérique | ...
Tipis indiens au XIXème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/535685b2-tipis-indiens-au-xixeme-siecle

Tipis indiens au XIXème siècle

Tipis indiens de la tribu des Utes, par George Catlin (1796-1872).

Antilope cervicapre. Source : http://data.abuledu.org/URI/516d6243-antilope-cervicapre

Antilope cervicapre

Antilope cervicapre, ou antilope indienne ou "Blackbuck" en anglais (fait référence à la coloration qu'arbore les mâles vers l'âge de la maturité). Vive, petite et légère, l'antilope cervicapre à une musculature sèche, ainsi que de longues pattes fines et des sabots frêles, serrés et très pointus, sa morphologie est donc idéale pour la course. Cette antilope vit dans les grandes plaines herbeuses, bois clairs, et les semi-déserts, en hardes dirigé par un mâle adulte avec des femelles (6 à 50) et leurs jeunes, les autres mâles sont maintenus à l'écart de la harde, les évincés forment des clubs de mâles. Le mâle dominant délimite son territoire par ses excréments et ses sécrétions du larmier (glande près de l'œil). Ruminant, herbivore, elle se nourrit d'herbes, de fleurs, de feuilles. Les prédateurs sont hommes et guépards indiens, (plus rarement loups, tigres et panthères), toutefois, elles sont extrêmement rapides : elles peuvent courir jusqu'à 80 / 90 km/h en moyenne sur 1,5 kilomètres de distance et atteindre 110 km/h en pointe sur une courte distance. Elles sont aussi rapides que le guépard mais plus endurantes, et font partie des mammifères terrestres les plus rapides du monde. Aussi marathoniennes, elles peuvent courir à 40 km/h sur une distance longue de 24 kilomètres au maximum. Très agiles, ces antilopes peuvent bondir dans les airs, jusqu'à 2 mètres de haut et 6 mètres en longueur. Elle est très craintive et fuit au moindre dérangement. Le jeu de saute-mouton fait partie de ses activités ludiques. Ses sens ne sont que moyennement développés, en effet, elle à une ouïe et un odorat plutôt faibles, elle se sert donc surtout de sa vue et de ses capacités sportives pour fuir le danger.

Bison américain. Source : http://data.abuledu.org/URI/516ae45a-bison-americain

Bison américain

Bison américain. Image prise par Jack Dykinga pour l'USDA. Légende originale de l'USDA : "Les scientifiques aident les utilisateurs des pâturages américains à relever le défi de la gestion multiusage durable." Les bisons forment un genre de grands bovidés ruminants dont il existe deux espèces vivantes : celle d'Amérique du Nord (Bison bison) et celle d'Europe (Bison bonasus). La première vit essentiellement dans les steppes nord-américaines tandis que la seconde est forestière. Le bison a été un animal caractéristique de l'Amérique du Nord et un symbole pour de nombreuses cultures amérindiennes. Les Amérindiens des grandes plaines de l'Amérique du Nord avaient une économie largement basée sur le bison. Les bisons d'Amérique du Nord étaient encore 50 à 70 millions avant l'arrivée des Européens en Amérique, vivant et migrant sur les plaines herbeuses d'Amérique du Nord, du Mexique au Canada. Ils ont frisé l'extinction avec la conquête de l'Ouest, l'introduction des chevaux et la construction du chemin de fer (vers 1870-1880), où le massacre des bisons fut une entreprise économique à très grande échelle, mais aussi une stratégie pour affecter les Amérindiens. Buffalo Bill (William Frederick Cody 1846-1917) fut un des plus grands chasseurs de bisons.

Calendrier aztèque, Codex Borbonicus. Source : http://data.abuledu.org/URI/5325d8ed-calendrier-azteque-codex-borbonicus

Calendrier aztèque, Codex Borbonicus

Le Codex Borbonicus est un codex indigène du Mexique central, ouvrage rituel aztèque dont on ne peut affirmer avec certitude s'il s'agit d'un codex préhispanique ou colonial. La première mention de son existence date de 1778 : il se trouve alors à la Bibliothèque de l’Escurial en Espagne. Il permet de se faire une idée précise des glyphes représentant les jours. Ainsi, cette page représente la 13e treizaine du calendrier aztèque, placée sous la protection de la déesse Tlazolteotl. La lecture se fait de bas en haut, de gauche à droite ; les cases étant numérotées de 1 à 13. Le premier jour de la treizaine est 1-tremblement (1-Ollin), suivi de 2-silex, 3-Pluie, etc. jusqu'à 13-eau.

Capybara au bord de l'eau au Venezuela. Source : http://data.abuledu.org/URI/5383a4d3-capybara-au-bord-de-l-eau-au-venezuela

Capybara au bord de l'eau au Venezuela

Un Capybara (Hydrochaeris hydrochaeris). Photo prise dans le Modulo Chititera, dans les plaines (Llanos) de l'État d'Apure (Venezuela). Rongeur qui mène la vie d'un mammifère social et semi-aquatique. Le capybara nage très bien et vit en groupe, les adultes s'organisant pour garder les petits. Le nom de "capybara" vient de "capivara", mot qui signifie "Seigneur des herbes" dans la langue des indiens Guaranis. Un capybara adulte mesure entre 105 et 135 centimètres de long et pèse de 35 à 65 kilogrammes. C'est le plus gros rongeur du monde. Le corps du capybara est couvert de poils durs bruns et sa tête a un large museau. Ses yeux sont petits et situés au-dessus du nez qui est surmonté à son tour par une glande qui sert à marquer les objets avec ses sécrétions. Ses oreilles sont petites et arrondies. Il n'a pas de queue. Ses pattes de devant ont 4 doigts, celles de derrière ont 3 doigts. Il laisse des traces très caractéristiques sur les sols humides. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Capybara

Cerises sèches. Source : http://data.abuledu.org/URI/534a67a2-cerises-seches

Cerises sèches

Cerises sèches (Montmorency, à gauche, et Bing, à droite) sur une assiette. Effets diurétiques signalés par Pline le Jeune, Naturalis Historia, chapitres XX-XXVII. Utilisés par les indiens Crow pour le pemmican. Le pemmican est une recette typiquement amérindienne constituée de graisse animale, de moelle animale, de viande séchée et réduite en poudre, ainsi que de petits fruits. En mélangeant ces ingrédients, on obtient une espèce de pain ou un pâté qui non seulement a la qualité de ne pas moisir mais peut même se conserver des dizaines d'années voire plus. Il fut, pour cette raison, beaucoup utilisé par les expéditions polaires. De nombreux héros de Jules Verne emmènent du pemmican dans leur paquetage pour leurs lointains voyages. Les ingrédients utilisés varient en fonction des disponibilités : bison, élan, wapiti ou autres cervidés pour la viande, baies d'amélanchier (saskatoon) le plus souvent, mais aussi cerises, groseilles, baies d'aronia et canneberges pour les fruits. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pemmican

Chasse à l'arc en char en Inde. Source : http://data.abuledu.org/URI/52ac9d19-chasse-a-l-arc-en-char-en-inde

Chasse à l'arc en char en Inde

Prithu (un des avatars de Vichnou) chasse la déesse de la terre (une vache blanche) : manuscrit indien de Bhagavata Purana daté d'environ 1740 et attribué à Manaku (1700–1760). Nainsukh family, Guler, India Overall: 22 x 32.6 cm (8 11/16 x 12 13/16 in.) Image: 17.8 x 28.5 cm (7 x 11 1/4 in.) Opaque watercolor, gold and silver on paper Classification: Paintings Type, sub-type: Page from an illustrated manuscript of the Bhagavata Purana

Chutte d'eau de Salto Angel. Source : http://data.abuledu.org/URI/501e3003-chutte-d-eau-de-salto-angel

Chutte d'eau de Salto Angel

Vue du Salto Angel (Chutes Angel, du nom de Jimmy Angel) depuis le chemin surplombant la rive droite de la rivière issue de ce saut. Photo prise durant la saison sèche, lorsque le débit est faible. Le Salto Angel est la plus haute cascade du monde, avec 979m de haut, dont 807m de chute libre. Le Salto Angel doit son nom à Jimmy Angel, l’aviateur américain qui l’aperçut en 1933 alors qu’il prospectait des filons d’or. Il revint en 1937 et tenta de poser son avion sur le plateau : l’avion s’enlisa et resta 33 ans au sommet du tepuy. Restauré au musée de l’aviation de Maracay il est maintenant exposé sur l'aéroport de Ciudad Bolívar. Jimmy Angel, de son côté, prit 11 jours pour revenir à la civilisation. Une réplique de l’avion a été placée au sommet du tepuy3. Cependant, les indiens Pemóns connaissaient le site bien avant et l’avaient baptisé Kerepakupai merú. Il est aussi parfois appelé Churun merú, à tort car ce nom désigne une autre chute du parc. Il aurait également été découvert par un explorateur vénézuélien, Ernesto Sánchez La Cruz, en 1910. Mais Jimmy Angel a bien été le premier à le faire connaître au grand public1.

Conte indien de la leçon des rois. Source : http://data.abuledu.org/URI/51968a51-conte-indien-de-la-lecon-des-rois

Conte indien de la leçon des rois

Une leçon pour les rois, illustration par John Dickson Batten (1860-1932). Source : Joseph Jacobs (1854-1916) "Fairy tales of India", 1892.

Conte indien du garçon au front de lune. Source : http://data.abuledu.org/URI/51968d3d-conte-indien-du-garcon-au-front-de-lune

Conte indien du garçon au front de lune

Le garçon qui avait une lune sur le front et une étoile sur le menton, illustration par John Dickson Batten (1860-1932). Source : Joseph Jacobs (1854-1916) "Fairy tales of India", 1892.

Conte indien du garçon au front de lune. Source : http://data.abuledu.org/URI/51968d9f-conte-indien-du-garcon-au-front-de-lune

Conte indien du garçon au front de lune

Le garçon qui avait une lune sur le front et une étoile sur le menton, illustration par John Dickson Batten (1860-1932). Source : Joseph Jacobs (1854-1916) "Fairy tales of India", 1892.

Coolies indiens dans une plantation de cacao. Source : http://data.abuledu.org/URI/5198082e-coolies-indiens-dans-une-plantation-de-cacao

Coolies indiens dans une plantation de cacao

Coolies indiens dans une plantation de cacao. Source : « The food of the gods, A Popular Account of Cocoa » par Brandon Head, 1903 Trinidad.

Damaru tibétain. Source : http://data.abuledu.org/URI/532323ea-damaru-

Damaru tibétain

Le damaru et le dugdugi (Bengale) sont des petits tambours indiens à deux peaux en forme de sablier. Au Népal il se nomme aussi kal dab dab ou kantan dab dab et au Tibet, il se nomme thöd rnga. De taille modeste (15 cm de hauteur et 8 cm de diamètre) habituellement, il en existe de plus grands (60 cm de hauteur et 40 cm de diamètre) tenus à deux mains, utilisés dans les temples. Les peaux sont tendues par un système de cordelettes allant de l'une à l'autre. Fixée au bout d'une ficelle placée au centre de l'instrument, une grosse graine frappe alternativement chacune des peaux de chèvre lorsqu'on la secoue de droite à gauche.

Enregistrement de chef indien en 1916. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b51ed4-enregistrement-de-chef-indien-en-1916

Enregistrement de chef indien en 1916

Frances Densmore, au Smithsonian Institution le 2 septembre 1916, pendant une séance d'enregistrement et d'écoute avec le chef indien Blackfoot pour le Bureau d'ethnologie américaine.

Grande maison amérindienne et ses totems. Source : http://data.abuledu.org/URI/51153f15-grande-maison-amerindienne-et-ses-totems

Grande maison amérindienne et ses totems

Wawadit'la, ou la maison de Mungo Martin, une "Grande maison" des Kwakwaka'wakw, avec ses totems. Monuments construits par le chef sculpteur Mungo Martin assisté de David Martin et Mildred Hunt en 1953 à Thunderbierd park, Victoria, en Colombie Britannique. Les Kwakwaka'wakw (ou Kwakiutl) sont un peuple amérindien de la province de Colombie-Britannique au Canada. Ils vivent principalement au nord de l'île de Vancouver et sur le continent. On estime leur nombre à 5 500 personnes. La langue traditionnelle des indiens Kwakwaka'wakw s'appelle le kwakiutl ou le kwak'wala. Lors du 60e anniversaire de l'UNESCO, le 16 novembre 2005, Claude Lévi-Strauss témoigne : « Or je devais recevoir l’an dernier du chef des nations Kakwaka’wakw un appel à l’aide. Sa langue, le kwakwala, m’écrivait-il, n’était plus parlée que par 200 personnes à peine. Par d’autres exemples, nombreux hélas, l’Unesco a pu se convaincre que les langues sont un trésor, d’abord en elles-mêmes, et parce que leur disparition entraîne celle de croyances, savoirs, usages, arts et traditions qui sont autant de pièces irremplaçables du patrimoine de l’humanité. »

Indiens Kalina à Paris en 1892. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ef559b-kalina-paris-1892-jpg

Indiens Kalina à Paris en 1892

Portrait des indiens Kali'na exhibés au Jardin d'acclimatation de Paris en 1892. Source : Photothèque, Musée de l'Homme, Paris ("Pau:wa itiosan:bola: Des Galibi à Paris"). Les Kali’nas (anciennement Galibis ou Karib) sont une ethnie amérindienne que l’on retrouve dans plusieurs pays de la côte caraïbe d’Amérique du Sud. Ils sont de langue et de culture caraïbes. L’origine du nom que les Européens leur donnèrent, Galibi, est inconnue, mais eux-mêmes préfèrent s’appeler Kali’na tilewuyu, c’est-à-dire "les vrais Kali’na", en partie pour se différencier des métis Marron-Kali’na habitant le Suriname. L’emploi de "Kali’na" n’est devenu habituel dans les publications que récemment. Mettre en lien avec un texte de George Sand, "Relation d'un voyage chez les sauvages de Paris".

Jeune conteur navajo à l'école. Source : http://data.abuledu.org/URI/53c78895-jeune-conteur-navajo-a-l-ecole

Jeune conteur navajo à l'école

Jeune conteur navajo contant une histoire illustrée sur un chevalet formé de deux rouleaux à manivelle, à deux enfants assis.

Jeune indienne se faisant peigner en 1900. Source : http://data.abuledu.org/URI/532ed28d-hopi-woman-dressing-hair-of-unmarried-girl-jpg

Jeune indienne se faisant peigner en 1900

Une femme hopi peigne une jeune fille, 1900.

Kayak sportif. Source : http://data.abuledu.org/URI/534681e2-kayak-sportif

Kayak sportif

Pagayeur utilisant la technique de l'appui-poussé pour redresser son kayak, rivière Youghiogheny dans le parc naturel du Ohiopyle en Pennsylvanie. "Youghiogheny" est un mot algonquin signifiant "une rivière coulant en cours opposé". Source : http://en.wikipedia.org/wiki/Youghiogheny_River

L'or du serpent. Source : http://data.abuledu.org/URI/509c1497-l-or-du-serpent

L'or du serpent

Illustration par J. D. Batten du conte indien "L'or du serpent" (The gold-giving serpent), extrait de "Indian Fairy Tales", 1892 par Joseh Jacobs (1854-1916) : le paysan porte un bol de lait au serpent contre une pièce d'or, mais le serpent sort la tête de la fourmilière et lui reproche sa conduite.

La grue et le crabe. Source : http://data.abuledu.org/URI/5098ba49-la-grue-et-le-crabe

La grue et le crabe

Illustration par J.D. Batten du conte indien "Le Crabe et la grue" (The cruel crane outwitted), extrait de "Indian Fairy Tales", 1892, par Joseh Jacobs (1854-1916) : la grue affamée essaie de convaincre les poissons de se laisser transporter dans une mare plus profonde.

La grue et le crabe. Source : http://data.abuledu.org/URI/5098bbc4-la-grue-et-le-crabe

La grue et le crabe

Illustration par J. D. Batten du conte indien "Le Crabe et la grue" (The cruel crane outwitted), extrait de "Indian Fairy Tales", 1892 par Joseh Jacobs (1854-1916) : Lettrine L de début du conte ("LONG ago..." = il y a longtemps de cela...) qui se passe dans une mare de lotus.

La légende du lapin-scribe maya. Source : http://data.abuledu.org/URI/535a6635-la-legende-du-lapin-scribe-maya

La légende du lapin-scribe maya

"Papalotochtli" en couleur par Piolinfax, avatar pour le wiki en langue Nahuatl. Représentation du dieu lapin-scribe sur un vase Maya. Comme les japonais, les Aztèques croyaient que les tâches de la lune représentaient un lapin : une légende dit que les dieux, furieux de sa lâcheté, giflèrent Tecuciztecatl avec un lapin avant qu'il ne se transforme en lune et perde sa luminosité. Sur cette image, le lapin a des ailes de monarque (Danaus plexippus), et il est posé sur une fleur aquatique de Xochimilco au Mexique.

La légende maya du lapin-scribe. Source : http://data.abuledu.org/URI/535a6798-la-legende-maya-du-lapin-scribe

La légende maya du lapin-scribe

"Papalotochtli" par Piolinfax, avatar pour le wiki en langue Nahuatl. Représentation du dieu lapin-scribe sur un vase Maya. Comme les japonais, les Aztèques croyaient que les tâches de la lune représentaient un lapin : une légende dit que les dieux, furieux de sa lâcheté, giflèrent Tecuciztecatl avec un lapin avant qu'il ne se transforme en lune et perde sa luminosité. Sur cette image, le lapin a des ailes de monarque (Danaus plexippus), et il est posé sur une fleur aquatique de Xochimilco au Mexique.

Le chant de la récolte dans une tribu indienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5337003d-le-chant-de-la-recolte-dans-une-tribu-indienne

Le chant de la récolte dans une tribu indienne

Le chant de la récolte dans une tribu indienne : joueur de flûte et petite joueuse de tambourin devant les légumes récoltés : citrouilles, maïs, poivrons, par E. Irving Couse (1866-1936), peintre américain.

Le fils du Rajah et la princesse Labam. Source : http://data.abuledu.org/URI/50976eb3-le-fils-du-raja-et-la-princesse-labam

Le fils du Rajah et la princesse Labam

Illustration par John Dickson Batten du conte indien "Le fils du Rajah et la Princesse Labam", "Fairy Tales of India" (1912) de J. Jacobs (1854-1916) : le prince ôte une épine de la patte du tigre.

Le lapin timide. Source : http://data.abuledu.org/URI/5231e10c-le-lapin-timide

Le lapin timide

Le petit lapin timide et pas malin - 1. Bande Dessinée par Yvain Coudert, Ryxéo, septembre 2013, illustrant ce conte de Djataka : Il était une fois un lapin qui faisait la sieste au pied d'un palmier.

Le lapin timide 12. Source : http://data.abuledu.org/URI/5231e7f7-le-lapin-timide-12

Le lapin timide 12

Le petit lapin timide et pas malin, 12. Bande Dessinée par Yvain Coudert, Ryxéo, septembre 2013, illustrant ce conte de Djataka : A la fin, quand le Lion vit les animaux courir et qu'il entendit leurs hurlements au sujet de l'explosion de la terre... il pensa qu'il devait y avoir une erreur ;

Le petit lapin timide et pas malin - 1. Source : http://data.abuledu.org/URI/52781970-le-petit-lapin-timide-et-pas-malin

Le petit lapin timide et pas malin - 1

Le petit lapin timide et pas malin - 1. Bande Dessinée par Yvain Coudert, Ryxéo, septembre 2013, illustrant ce conte de Djataka : Il était une fois un lapin qui faisait la sieste au pied d'un palmier.

Le petit lapin timide et pas malin - 2. Source : http://data.abuledu.org/URI/527819d4-le-petit-lapin-timide-et-pas-malin

Le petit lapin timide et pas malin - 2

Le petit lapin timide et pas malin, 2. Bande Dessinée par Yvain Coudert, Ryxéo, septembre 2013, illustrant ce conte de Djataka : Il se réveilla brusquement en se disant : « Et si le monde explosait, qu'est-ce qui m'arriverait ? » Au même moment des singes lâchèrent une noix de coco qui tomba juste derrière le Lapin.

Le petit lapin timide et pas malin, 12. Source : http://data.abuledu.org/URI/52782583-le-petit-lapin-timide-et-pas-malin-12

Le petit lapin timide et pas malin, 12

Le petit lapin timide et pas malin, 12. Bande Dessinée par Yvain Coudert, Ryxéo, septembre 2013, illustrant ce conte de Djataka : A la fin, quand le Lion vit les animaux courir et qu'il entendit leurs hurlements au sujet de l'explosion de la terre... il pensa qu'il devait y avoir une erreur ;

Le village indien de Pomeioc au XVIème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/5266335d-le-village-indien-de-pomeioc-au-xvieme-siecle

Le village indien de Pomeioc au XVIème siècle

Le village algonquien de Pomeioc, North Carolina, aquarelle. Source : NARA - 535753. Commentaire de 1885 : Dessin du XVIème siècle du village algonquien de Pomeiock, près de la baie de Gibbs en Caroline du Nord, avec huttes et longues maisons protégées par une palissade. (A 16th-century sketch shows the Algonquian village of Pomeiock, near present-day Gibbs Creek, North Carolina, with huts and longhouses inside a protective palisade.) Légende en anglais de l'aquarelle : La ville de Pomeiock et la forme véritable de leurs maisons, couvertes et fermées par des nates ou des écorces d'arbres. Enceinte de petits pieux serrés plantés en guise de murs. (The towne of Pomeiock and true forme of their howses, couered and enclosed some w(i)th matts, and some w(i)th the barcks of trees. All compassed about w(i)th smale poles stock thick together in stedd of a wall.)

Musée Schoelcher de Pointe-à-Pitre. Source : http://data.abuledu.org/URI/529644d6-musee-schoelcher-de-pointe-a-pitre

Musée Schoelcher de Pointe-à-Pitre

Entrée du musée Schœlcher de Pointe-à-Pitre. Au lendemain de l’abolition de l'esclavage en 1848, les planteurs guadeloupéens, à la recherche de main-d’œuvre étrangère explorent plusieurs possibilités. Napoléon III signe la Convention sur l’immigration indienne le 1er juillet 1861. Le «Bombay Gazette» du 15 juin 1858 décrit les individus confinés dans les dépôts comme des pauvres, ignorants et illettrés pour l’essentiel, «nés dans la liberté, prêts à être déportés dans des colonies où l’esclavage a été aboli mais où ils deviendront esclaves». Ce commerce humain est une affaire lucrative pour la Compagnie générale maritime signataire d'un contrat rémunérateur avec le Ministère de la Marine. Leurs conditions de vie misérables deviennent vite dramatiques, et sont qualifiées de « New system of slavery » par le gouvernement britannique, qui, conscient des sévices commis sur ses sujets aux Antilles françaises signe le 1er novembre 1888 l’arrêt de ce mouvement migratoire. Il existe une énorme surmortalité, soit 61,4 pour mille entre 1855 et 1885. Victor Schoelcher déclare que « l’immigration consomme presque autant de créatures humaines que l’esclavage ». Le rapatriement au terme du contrat est rare au début. En 1923, suite à un long procès 1904-1923, Henry Sidambarom (1863-1952), défenseur de la cause des travailleurs indiens, obtient la nationalisation pour les indiens de la Guadeloupe. En 1925, Raymond Poincaré, Président du Conseil, décide d'octroyer définitivement la nationalité française aux ressortissants indiens ainsi que le droit de vote.

Pocahontas-20. Source : http://data.abuledu.org/URI/58cfa245-pocahontas-20

Pocahontas-20

Pocahontas-20 : Pocahontas est accueillie en Angleterre comme une princesse.

Portrait du peintre américain George Catlin. Source : http://data.abuledu.org/URI/53568185-portrait-du-peintre-americain-george-catlin

Portrait du peintre américain George Catlin

Portrait du peintre américain George Catlin spécialiste des Amérindiens, en 1849, par William Fisk (1796 - 1872). En 1821, il abandonne une brillante carrière d'avocat, pour se consacrer à sa passion : peindre les indiens. Il voyage beaucoup dans les vastes territoires américains, et rapporte des peintures, des dessins et des objets d'artisanat. Son œuvre offre un témoignage essentiel sur la culture amérindienne. Son style est caractérisé par un trait synthétique et un minimalisme des couleurs, révélateur des conditions difficiles de ses voyages, et de la rapidité d'exécution nécessaire. En 1838, Catlin crée l'Indian Gallery, destinée à rassembler le matériel qu'il a constitué. Elle est présentée sur la côte est des États-Unis, ainsi qu'en Europe, où elle rencontre un grand succès. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/George_Catlin

Récolte de canneberge en Amérique du Nord. Source : http://data.abuledu.org/URI/534a7b13-recolte-de-canneberge-en-amerique-du-nord

Récolte de canneberge en Amérique du Nord

Récolte de canneberge en Amérique du Nord. Jadis cueillies à l'état sauvage par les Indiens d'Amérique du Nord, les canneberges sont cultivées de façon de plus en plus intensive. La récolte, souvent mécanisée, se déroule la plupart du temps de fin septembre à début octobre. Surnommées « batteurs à œufs », d'énormes machines servent à les ramasser selon une technique industrielle dite « wet » (humide). Les engins brassent l'eau qui recouvre les arbustes plantés dans les marais. Détachés, les fruits mûrs remontent à la surface. Il faut alors les amener vers un bord de la tourbière. Les agriculteurs, dans l'eau jusqu'aux genoux, emprisonnent les fruits dans un boudin flottant. La récolte terminée, les baies seront séchées et nettoyées puis, par un système de tapis roulants, chargées à bord des camions. La récolte doit rejoindre le plus rapidement possible les entrepôts de stockage où elle sera calibrée et congelée. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Canneberge

Récolte des fruits de canneberge en Amérique. Source : http://data.abuledu.org/URI/534ad16e-recolte-des-fruits-de-canneberge-en-amerique

Récolte des fruits de canneberge en Amérique

Récolte des fruits de canneberge dans la baie des busards, Massachusetts. Jadis cueillies à l'état sauvage par les Indiens d'Amérique du Nord, les canneberges sont cultivées de façon intensive. La récolte, mécanisée, se déroule de fin septembre à début octobre. Surnommées "batteurs à œufs", d'énormes machines servent à les ramasser selon une technique industrielle dite "humide". Les engins brassent l'eau qui recouvre les arbustes plantés dans les marais. Détachés, les fruits mûrs remontent à la surface. Il faut alors les amener vers un bord de la tourbière. Les agriculteurs, dans l'eau jusqu'aux genoux, emprisonnent les fruits dans un boudin flottant. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Canneberge

Relation d’un voyage chez les Sauvages de Paris. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c7a408-relation-d-un-voyage-chez-les-sauvages-de-paris

Relation d’un voyage chez les Sauvages de Paris

Première "Lettre à un ami" de George Sand, racontant en 1846 à la première personne sa visite à une exposition de peintures et d'objets sur la vie quotidienne des indiens d'Amérique, suivie d'une représentation de danse de guerre par un groupe d'indiens, à Paris. (4608 mots)

Séquoia géant. Source : http://data.abuledu.org/URI/53943f14-sequoia-geant

Séquoia géant

Séquoia géant (Sequoiadendron giganteum) au Jardin du Pré-Catelan, Bois de Boulogne. Le chef indien Sequoyah le Cherokee, de son véritable nom George Guess, inventeur de l'alphabet cherokee, a donné son nom à l'arbre en raison de sa force et de sa persévérance. Cette dédicace fut faite par le botaniste autrichien Stephan Ladislaus Endlicher. Le Séquoia géant n'est pas l'arbre le plus haut ni le plus large du monde. Il est tout simplement le plus volumineux de la planète. Il atteint habituellement une hauteur de 50 à 85 m pour un diamètre de 6 à 8 m. Le Séquoia géant se caractérise également par sa longévité puisqu'il peut atteindre plus de 3 000 ans. Sa croissance initiale est vigoureuse et verticale avec une forme conique caractéristique. Au-delà de 100 ans, il a tendance à se développer plutôt en diamètre et son sommet s'arrondit. S'il ne pousse pas en situation isolée, il perd rapidement ses branches basses à cause de l'ombrage provoqué par les arbres voisins, ce qui explique l'absence de branches sur une hauteur de 20 à 50 m. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/S%C3%A9quoia_g%C3%A9ant

Siyotanka indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/53287213-siyotanka

Siyotanka indien

Le siyotanka - « le grand coq de bruyère » en langue sioux ou « le bâton qui chante » en langue lakota - (Iroquois, Winnebagos, Ojibwés, Mandans, Hidatsas, Cris, Sioux. C'est une « flûte de courtoisie » à double conduit jouée notamment lors de la cérémonie de la danse du Soleil. Une légende voudrait que c'est un pivert en creusant une branche de cèdre avec son bec qui a offert cet instrument à un jeune guerrier amoureux. Une autre légende hidatsa parle de « la squaw qui ne meure jamais » qui offrit cette flûte à son petit-fils et qu'elle confectionna dans la tige d'un tournesol avec sept trous représentant les mois de l'hiver. La représentation la plus ancienne de cet instrument est un pictogramme sur des rochers très connu appelé Kokopeli. Le siyotanka désigne aussi un sifflet sacré taillé dans un os d'aigle chez les Sioux.

Super Héros 05. Source : http://data.abuledu.org/URI/52a45fc6-super-heros-05

Super Héros 05

Super Héros, pour les grands, d'Odysseus (décembre 2013) : Le cowboy retrouve l'indien, mais une menace plane sur le sommeil de Victorien et de ses amis ...

Surbahar indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/53344a15-surbahar

Surbahar indien

Le surbahar (en ourdou سربہار; en hindi सुर बहार) est un instrument de musique du nord de l'Inde. Utilisé dans la musique hindoustanie, c'est un sitar basse en quelque sorte, rarement joué. Le surbahar est un vieil instrument dérivé de la vînâ et du tambûr. Il ressemble au sitar, mais est encore plus grand. Son manche est beaucoup plus large. Sa tête se termine par une sculpture de cygne ou de paon. Et sa caisse de résonance est une calebasse aplatie, et non sphérique. Les cordes sont plus grosses et le son plus grave. On en joue assis en tailleur par terre, exclusivement les râgas dans le style dhrupad, accompagné par le pakhâwaj. On se sert de deux mezrabs (à l'index et au majeur) qui vont et viennent alternativement sur les cordes (comme dans la basse). Vu le manche spécialement étudié, on peut tirer une corde afin d'infléchir une note non plus seulement sur une quinte, mais sur une octave entière. Cette opération demande toutefois de la pratique du fait de la résistance de la corde. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Surbahar

Vente de sacs indiens wayuu en Colombie. Source : http://data.abuledu.org/URI/538127fd-vente-de-sacs-indiens-wayuu-en-colombie

Vente de sacs indiens wayuu en Colombie

Indigènes Wayuu, tisseuses de sacs indiens au Camellón de Riohacha, La Guajira en Colombie. Les Wayuu vivent essentiellement du tissage, dont la fabrication d'habits notamment, et cultivent une culture orale propre aux anciens peuples et aux actuelles ethnies indiennes d'Amérique du Sud. Ils parlent leur propre langue ainsi que l'espagnol. Ces Indiens sont les seuls à ne pas avoir été conquis par les Espagnols et ont maintenu une certaine indépendance dans les deux pays dans lesquels ils vivent. L'actrice vénézuélienne Patricia Velásquez, originaire de la région, a créé la fondation Wayúu Taya pour améliorer l'accès aux soins médicaux et à l'éducation pour ces populations. Le financement de cette fondation provient notamment de la vente de sacs tissés incorporant des motifs traditionnels. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Wayuu